Juliet Candice Hoverwood

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© T_ELOSX

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© EXPECTANCIES

FEAT SCARLETT JOHANSSON . A LITTLE ABOUT ME DATE DE NAISSANCE ; treize décembre. LIEU DE NAISSANCE ; denver (colorado, usa). NATIONALITÉ ; américaine. AGE PHYSIQUE ; vingt-six ans. AGE RÉEL ; vingt-six ans. RACE ; humaine. MÉTIER ; traqueuse (boulot très mal rémunéré), human resistance.

Behind the screen, who are you ?

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PSEUDO ; Ophée, Black Lahcà… Voire même Maîtresse-Suprême si vous voulez entrer dans mes petits papiers. 8D
AGE ; Seize ans, bientôt dix-sept. (dans quelques mois, give me five _o/\o_)
PRÉSENCE ; 5/7 approximativement.
TON PERSONNAGE ÉTAIT ; Un inventé. Même si j’ai lôôônguement hésité avec des personnages vacants (notamment avec James T. Wright et Thomas A. Mansfield *o*). Néanmoins, j’avais déjà une idée de personnage en tête et il fallait que… ça sorte. 8D
CODE DU RÈGLEMENT ; ok par Linc'
RANG ;
Code:
<ul>  j u l i e t ▬ « <i>you're here to save my ass</i> »</ul>
AUTRE ; Un jour Dieu dit à Hélène de s’égarer et Hélène Ségara. Un jour Dieu dit à Coca de coller, et Coca Cola. Un jour Dieu dit à David de guetter et David Guetta. Un jour Dieu dit à Chuck Norris de… et Dieu disparut. BREF. Après ce quart de seconde humoristique, je tiens à préciser que votre forum a l'air bien parti pour durer : on sent le travail fourni et, franchement, je m'incline et je vous offre un bon vieux bouquet de pissenlits. *o* i loooooove youuu. - quand il me preeeeend dans ses brâââs, je vois la vie en rôôôse -

It's not over.

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« Juliet. » les mots grossiers et les sons ridicules, des hideuses cacophonies qui secouaient les mers, si il en restait. La terre tremblait, elle le sentait. Le monde s’arrêtait de tourner, le sang maternel s’étalait sur ses doigts meurtris. On lui toucha l’épaule, elle ne réagit pas. Un vague battement d’aile de papillon sur la joue et la vie peut s’arrêter. Ephémères petites personnes. La violence élégante et l’immortalité attirante. « Juliet, on ne peut pas rester ici. Tu comprends ? » Non, elle ne comprenait pas. L’invasion des indésirables avait touché sa propre famille. Sa mère, étendue sur le ventre, semblait s’être noyée dans son propre sang. Ses yeux vitreux regardaient le néant qui s’était ouvert à elle pour l’envelopper doucement, presque d’une manière chaleureuse. Poussière tu es, poussière tu redeviendras. La demoiselle leva son regard bleuté vers le visage blême de son géniteur. Ce dernier évitait de regarder le corps de ce qui avait été sa femme alors que J. ne le pouvait guère. Ainsi donc, les années glorieuses venaient de s’arrêter à l’instant. Dans cette cuisine impersonnelle. Le sac à main de Juliet, qu’elle tenait encore en main, tomba à terre dans un vague bruit mat. Elle se pinça les lèvres… Que s’était-il passé ? Ils venaient de rentrer, oui… Ils venaient de rentrer. Ils l’avaient découverte là, morte. « Je dois me doucher. » Son père entrouvrit la bouche pour protester mais il remarqua les mains sanglantes de son enfant. Enfin il daigna poser son regard vide sur le cadavre de celle qu’il avait tant aimée, une ombre passa sur son visage. Juliet profita de cet instant de deuil pour sortir de la pièce à grandes enjambées. Elle passa sa main sur le bois rude des escaliers tout en sachant que ce serait la dernière fois qu’elle monterait ces marches. Mademoiselle Hoverwood aimait être humaine. Elle aimait la solidarité qui liait chaque humain même si, la plupart du temps, cette solidarité était cachée derrière des murs de cynisme et d’indifférence. Elle pénétra dans sa chambre telle une divinité grecque (en poussant les deux battants de sa porte dans un geste mélodramatique). Juliet prit le temps de sélectionner ses habits favoris, elle huma l’odeur du tissu fraîchement lavé. Cette odeur lui rappelait celle de sa mère. Le sang séché sur ses mains n’avait laissé aucune trace sur les vêtements élégamment posés sur son lit rosâtre. Elle haïssait le rose. « MERDE, Juliet. » L’interpellée sursauta et se tourna vers son père, le visage déformé. « MERDE ! Crystal est MORTE ! BORDEL ! Tu veux aller te doucher ? TOUT EN SACHANT QUE…, les veines de son front palpitaient, TOUT EN SACHANT… qu’il y a un cadavre qui ne va pas tarder à pourrir dans la cuisine ? » La main de Juliet vola pour rencontrer avec dureté la joue fraîche de son père. Il réagit presque instantanément en saisissant sa fille à la gorge, si il pressait elle était décédée d’avance. « Dean Hoverwood, père, papa, daddy… Désolée. » il la lâcha et tomba à genoux, le corps secoué de sanglots. Elle ne savait que faire. Partagée entre l'envie d'aller prendre cette foutue douche pour se débarrasser de l'intégralité de ses nombreux tourments et celle de consoler son paternel, Juliet répéta ce qu’elle venait de dire. Ça donnait bien. « Désolée. » « On pourra s’arrêter dans une station service ? » « Non. » Les réponses de Dean étaient claires et courtes. Il ne voulait s’étaler sur aucun sujet, ses mains étaient crispées sur le volant et ses yeux… quels yeux, mon Dieu. Un regard est-il susceptible de tuer ? Si c’était vrai alors Juliet avait du souci à se faire. « On aurait du enterrer maman. » il ne répondit pas, l’ignorant royalement. Ignorant sa propre fille au profit de la radio qu’il enclencha pour tomber sur une antenne qui passait en boucle des chansons vieillottes. « Dors. » Juliet fermait les yeux. Nul besoin de réconfort, bien entendu. Aucun besoin, bien entendu. Cependant, ses yeux papillonnèrent au rythme d’une chanson de Barry Manilow. « Well, you came and you gave without takin', but I sent you away, oh Mandy. Well, you kissed me and stopped me from shakin' and I need you today. Oh, Mandy ! » Cette chanson l’emporta au pays des songes, la plaçant confortablement dans les bras de Morphée. Toutes les peines s’effacèrent de son visage car elle vivait dans le passé. Elle voyait sa mère – paisible écrivain qui n’avançait dans aucun de ses livres – et son père – comptable énergique –. Réunis tous les trois. Trois, chiffre magique. Deux, duo improbable. Et quand l’un des deux meurt… que reste-t-il ? Il ne reste rien. Plus qu’une poussière qu’on a vite fait de balayer. Oh Mandy… Le sang gicla sur le visage de Juliet, sous le choc, ses lèvres rosées formèrent un cercle parfait et elle poussa un cri aiguë qui dura une demi seconde. Sa mère était à terre et tentait vainement de se protéger de toutes ces… choses. Choses qui se délectaient du sang. Qui s’abreuvaient sans pitié, sans douce arrière-pensée. Juliet se couvrit la bouche avec ses mains et ne pensa pas à retenir ses larmes. Un vampire la remarqua. Puis toute la bande suivit. Ils observaient ce nouveau met avec avidité. Ils se jetèrent sur elle et, maladroitement, J. tenta de se défendre. Mais peine perdue, elle ne put esquisser le moindre geste. Elle sentait son corps partir, loin, très loin. Le réveil fut brutal. Son père jeta à sa progéniture un regard inquiet avant de se reconcentrer sur la route. Le soleil venait de se lever, ses paisibles rayons venaient de caresser somptueusement la carrosserie abîmée de la voiture qui roulait toujours à vive allure. « On va où,… Je te somme gentiment de répondre, daddy. » l’intéressé leva les yeux au ciel, réprimant un ricanement : sa femme venait de mourir, c’était inconvenant de rire alors qu’elle en était, à présent, bien incapable. « Ça se résume en un mot : Hunter Cameron. Plutôt deux mots en fait, Dean resta un instant songeur avant de reprendre, Il y a une rumeur qui court comme quoi il aurait formé un groupe de résistants. Je pense que ce serait une bonne idée si… Bref. Ils sont basés sous le pont de San Francisco, me semble-t-il, les ghettos. » « Les ghettos ? Bordel. Qui t’a donné cette information ? », demanda Juliet d’une voix paisible « Un de mes potes, Andrew H. Et je sais ce que tu vas me dire, cracha Dean avec violence, mais je crois qu’il ne débite pas que des conneries. » Juliet aurait aimé rétorquer quelque chose de puissant, un bon pic bien aiguisé, mais elle en était tout bonnement incapable aujourd’hui. Oh Mandy…

A Long Season of Disappointment.

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« Papa, fais attention. » Ça a toujours été ainsi chez les Hoverwood. Papa partait à la guéguerre tandis que Juliet jouait les douces femmes au foyer, attendant patiemment que Romeo daigne se pointer sur son canasson blanc. Quelle idée, mon Dieu. Et dire que, la première fois qu’elle avait atterri dans le ghetto, elle avait guetté avec avidité les jeunes hommes susceptibles de la faire chavirer. Ceci étant dit, au bout de quelques jours, elle s’était aperçue de l’ampleur de la situation. La mort de sa mère n’était qu’un unique grain de sable sur la place. Les humains étaient menacés d’extinction, c’était clair. Dès qu’on abordait le sujet, les survivants baissaient le nez en maudissant le ciel pour avoir envoyé sur Terre de tels résidus d’humanité. Papa, fais attention. Mais fait-il réellement attention lorsqu'elle n'est pas là pour jouer le maître d'hôtel ? Non. Vieil inconscient. Après tout, comment peut-elle le blâmer ? Il n'a plus rien à perdre. Sauf sa fille. A quoi pense-t-il lorsqu’il part à l’assaut d’un troupeau de vampire ou, plus simplement, d’une sangsue isolée ? Juliet, quant à elle, exècre la violence et les coups du sort. Elle n’a jamais essayé de tenir un flingue en main et son père ne l’a jamais contrainte à se battre pour sauver la vie de quelques hommes imprudents. Dans ces ghettos, il n'y a rien de bon. Rien de sain. Lors des luttes de son père, alors qu’elle stressait à mort pour la vie de ce dernier, J. se plongeait dans un de ces romans à l’eau de rose terriblement pathétiques et qui finissent tous par un meurtre collectif. Alors que J. empoignait l’inévitable livre poussiéreux Romeo & Juliet, elle sentait quelques regards inquiets dans son dos. Des murmures attristés et des petits reniflements délicats. Papa n'a pas fais attention aujourd'hui.

Dude, i will kick your ass.

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« NON ! JULIET ! » telle une kamikaze sans foi ni loi, J. se précipita vers le vampire en levant son pieu en argent. « Crève, son of a bitch ! » ceci étant, la sangsue n’avait pas réellement l’intention de crever. Dans un geste leste et délicat, il désarma sans peine la jeune inconsciente avant de lui attraper les épaules pour l’envoyer valser à quelques mètres de là. Juliet ne s’en formalisa pas, même si il lui fallut quelques secondes pour remettre ses idées en place. Elle aperçut ses compagnons d’infortune au loin, tentant de mettre fin aux jours de ce monstre sans âme. Ce combat prit fin rapidement vu que le vampire finit par être massacré. De loin, Juliet assistait au spectacle, un mince sourire aux lèvres même si les plus petits détails lui échappaient. Malheureusement, un de ses compagnons la releva de force pour lui brailler dessus à gorge déployée. « TU VAS FINIR PAR TOUS NOUS TUER ! BORDEL ! On ne peut pas se permettre de perdre un autre Hoverwood. » A l’image de son père, J. avait pris le goût des armes. Le goût du risque. On la considérait comme suicidaire, une putain de kamikaze. Certaine fois, elle passait à deux doigts du trépas. Elle réussissait à s’échapper grâce aux diverses interventions de ses prétendus ‘ amis ’. La soif de vengeance lui avait collé des ailes dans le dos. Viens, je t'attends. Dans les méandres de son esprit, je t'attends. La mort m'aura, mais sois sans crainte, nous mourrons ensemble. Tu me supplieras, comme tant d'autres ont du te supplier. Tu me regarderas, espérant déceler encore en moi une part qui ne veuille pas te tuer. Tu ne la trouveras pas. Je suis une révolutionnaire qui espère un avenir pour les humains, je suis une combattante kamikaze qui te prendra pour copilote. Si tu ne meurs pas avant sous mes mains sanglantes.

Bienvenuuuue !

Alors, alors...Je n'ai pas grand chose à dire, si ce n'est que tu es validée ! Une fiche courte qui va à l'essentiel, je trouve ça parfait

Amuses-toi bien parmi nous petite humaine ! Et si t'as besoin de quelqu'un pour buter l'assassin de papa, appelle-moi *SBAF*

En plus, je me suis tapé un tel fou-rire devant les couneries que t'as sorti en HJ que XDDD *SBAF*

*o*
CHRISTIAAAAAAAAAAAAA[..]AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN gniiiiiiii *plus de souffle* (c'est l'effet Equilibrium)

Roh merci, c'est gentil

Je crois que je vais avoir recourt à ton aide, papounet doit être vengé èé.

NAN MAIS C'EST PAS DES CONNERIES. Dieu a vraiment disparu à cause de Chuck Norris

Ho la cochonne

N'est ce pas ! XD Ho. Et ta sign, spéciale dédicace à Inglourious Basterds <3

J't'aime déjà toi XD

Pas ma faute si vous avez des smileys pervers.

INGLOURIOUS BASTERDS. *o* THAT'S A BINGO !

Non mais marions-nous de suite quoi XDD !

ARIVEDERCHI. Moi j'te dis xD CULTISSIME cette scène

Owi marions-nous xD Après on fera cramer des vampires ensemble MUHAHAHAHAHA *SBAF*

Il est 00h30, cherche pas xDD

AREEVERDERSHEE ! Ou même le fameux : Scuziiii, Scuziii, *sbam* Scuzii. J'ADOORE.

Le couple de l'année quoi, un duo de terroristes XD
Je cherche pas, je sens que je vais pas tarder à sombrer dans le DODO 8D

Merci Cassandre <3
J'adore ce prénom *o*

Bienvenue à toi chère amie humaine ^.^

Putin ! Je suis tombée sur un très bon forum moi dis donc !
Des gros fan de Tarantino en puissance :p
Inglorious Basterds, déchire tellement le film que je suis parti le voir 3 fois au ciné...Tarantino, un vrai modèle ce mec T__T

VIVE LANDA ! (même si c'est un gros salaud, c'est lui le meilleur là-dedans !)
En bref, ravie de voir qu'il y a des bon amateur de film...pour une fois xD

Lincoln • Scuziiiiiiiiiiiii, et perso' je suis une BEAR JEW ADDICT. (Eli Roth, mon Dieu qu'il est seks même si il est trèèès poilu XD)
Un duo qui va faire exploser la ville, mouhahaha 8D.

Cassandre • Mon dieu, tes pauvres sœurs XD ! J'utilise souvent Cassandre en pseudo' surtout lorsque je viens de regarder quinze fois d'affilé Alexander the great (avec Coliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin) *o*

Wesley • Que dire ? Si ce n'est merci et les HUMAINS AU POUVOIR, LES HUMAINS AU POUVOIR !

Wade • Merci <3333 !
Tarantino est incontournable Awui, tu es une grande fan : trois fois au ciné', wahou.

THAT'S A BINGOOOO.

Héhé, n'est-ce pas Lincoln. (a) J'ai adoré la tête d'Aldo lorsque Landa parle en Italien. ' ô_ô... Si. Grazie. 8D '

Scuziiiii *o*