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Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view

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Lincoln J. O'connell

ALPHAVAMPIRE
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Lincoln J. O'connell
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MessageSujet: Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view EmptyMer 17 Mar - 20:35

LINCOLN JOHN O'CONNELL
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Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Equilibrium12 Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Equilibrium4 Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Equilibrium7
© ROQUEDEMONHUNTE

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© NEMESIS
    FEAT CHRISTIAN BALE
    .


    A LITTLE ABOUT ME
    DATE DE NAISSANCE ; Tout dépend de quelle « naissance » nous parlons. J’ai vu le jour le 18 mai 1910…et l’ombre m’a accueilli en son sein lors d’une froide nuit de novembre.
    LIEU DE NAISSANCE ; San Francisco, bien évidemment.
    NATIONALITÉ ; Américain pure souche !
    AGE PHYSIQUE ; Trente-six printemps.
    AGE RÉEL ; Cent-une années.
    RACE ; Les seringues de miss Blackwood m’ont transformé en un alpha vampire des plus vils.
    MÉTIER ; Les humains me paient, et je tue des vampires. Les vampires me paient, et je tue des vampires. Qui suis-je ? Un tueur à gage, mes amis.





Behind the screen, who am I ?
.


      PSEUDO ; L. Vous vous attendiez à quoi ? XD *SBAF*
      AGE ; 17 ans, bientôt 18 Very Happy
      PRÉSENCE ; 6/7 selon mes cours et tout ><
      TON PERSONNAGE ÉTAIT ; Un PV…Mais puisque je l’ai inventé, ben il est aussi l’un de mes bébés. Donc…on peut switcher ? XD
      CODE DU RÈGLEMENT ; validé par moi-même. *SBAF*
      RANG ; Déjà fait Very Happy
      AUTRE ; LEEEEEEEEET’S GOOOOO !!




Dernière édition par Lincoln J. O'connell le Dim 21 Mar - 0:48, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view EmptyMer 17 Mar - 20:47

Acte premier ; américanisme belliqueux
« Méfie-toi de l’homme qui ne combat pas ; il garde toujours un poignard sous sa manche. »


      Décembre 1941 • Pearl Harbour • Base navale des Etats-Unis d’Amérique.
    Je travaillais à l’U.S Navy depuis presque dix ans, et jamais je n’avais assisté à une attaque pareille. Dès six heures du matin, l’aviation japonaise bombarda notre base. Les sirènes sonnèrent, les soldats sautèrent de leurs lits et coururent après leurs avions déjà sortis des hangars. Si on pouvait encore les utiliser.
    Personnellement, je travaillais au fond de la calle de l’USS Lincoln –oui, le cuirassier et moi portions le même nom, quelle coïncidence ! Ainsi pus-je aisément sentir les perturbations dues aux bombes tombées au fond de l’eau.

    Soudain, tout trembla autour de moi. Je m’écroulai, m’assommant à moitié sur les plaques de métal et gémis de douleur. Une odeur de poudre, de fumée et de sang se rependit à travers le cuirassier. Un obus venait de nous tomber dessus, tout simplement.
    Certains matelots espéraient éviter les bombardements en me rejoignant. Bonne idée. Au lieu de mourir brûlés vifs ou transpercés, ils mourraient noyés. Pourquoi ? L’impact avait poussé le bâtiment à s’exploser contre un autre, aussi nous retrouvions-nous à la fois coincé en fond de calle, mais également à deux doigts de jouer aux mammifères aquatiques.

    Les autres s’évertuaient à taper contre les tôles, espérant y creuser une brèche. Le cuirassier chavira sur la droite, nous entraînant tous à l’opposé de notre position. Si mes camarades pestaient contre l’infortune, moi je remerciai le Ciel de nous offrir une opportunité pareille. Le basculement avait mis l’une des plaques principales de la coque à l’air libre, et si le plus qualifié d’entre nous réussissait à la dévisser…nous serions libres. Ce jour-là, je remerciai mes années passées sur le bateau de mes parents, à en réparer toutes les anomalies, et à en bichonner tous les points sensibles.

    Je me hissai donc jusqu’à la clé de notre survie et me hâtai de faire sauter les boulons. Pas facile, surtout lorsque vous manquez glisser toutes les deux minutes.
    Le bateau chavira de nouveau, encore plus à droite. Des tubes de métal plus ou moins brûlants tombèrent et claquèrent de tous les côtés…L’un d’eux me percuta et m’écrasa la jambe, allant jusqu’à brûler ma chair, briser mes os, déchirer mon âme. L’intensité de la souffrance me poussa à hurler, et pourtant je ne quittai pas mon poste. D’ailleurs, mon sang froid imperturbable et mon calme légendaire me permirent d’en finir rapidement, et de sortir mes collègues de l’embarras.

    Ils m’aidèrent à nager jusqu’à la rive, puisque mes diverses blessures et ma jambe cassée risquaient de me tuer en route. Beaucoup de mon sang teinta les eaux tumultueuses du Pacifique ce jour-là.
    Des types triaient les blessés aux abords de l’infirmerie. Chacun méritait une lettre sur son front…A si on pouvait être sauvé, B si on devait nous prendre d’urgence, C s’il était préférable de nous conduire immédiatement au cimetière. On m’avait marqué B au détriment d’un autre, et j’avoue m’en vouloir encore aujourd’hui.

      Une fois remis en « état », on me laissa dormir tranquille. Je m’apprêtai d’ailleurs à succomber aux gentillesses du marchand de sable, lorsque mon voisin de lit m’interpella.
      « Merci de nous avoir aidés… »
      « De rien. » Répondis-je d’une voix faible, la gorge à moitié brûlée lors de l’explosion de la carlingue supérieure du navire.
      « C’est quoi ton nom ? »
      « O’connell…Lincoln. »


    Et sur ces mots, je m’évanouis.
    Presque quatre-vingt ans se sont écoulés depuis Pearl Harbour, et j’en garde encore des cicatrices. Notamment des marques de brûlures le long du dos et de la jambe gauche…Bah, les souvenirs se forgent aussi sur les cicatrices. Et je ne peux pas m’en plaindre…j’en suis sorti vivant, moi.
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MessageSujet: Re: Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view EmptyMer 17 Mar - 20:54

Acte second ; le vampire de New-York
« Certains jouissent en devenant des cadavres. Avec moi, c’est une autre histoire… »


      Novembre 1946 • Quartier sombre • San Francisco.
    La guerre était finie depuis un an maintenant, et les anciens de Pearl Harbour aimaient à se retrouver au sein de quelque bar de la ville. D’ailleurs, même si j’appréciais l’alcool, j’évitai de finir complètement ivre. La gueule de bois, très peu pour moi ! En plus, on a toujours l’air très bête quand on est ivre. Merci bien, mais ma peur des lieux publics et des aiguilles me rendent suffisamment ridicule.

    Allez savoir si j’ai eu de la chance ou pas, cette nuit-là. Sortant du bar un peu plus tôt, je me trompai de route et empruntai une ruelle des plus inquiétantes. L’atmosphère morbide rendait le moindre bruit angoissant, et à force d’habitude je n’y prêtai plus attention. J’aurais du y prêter attention.

    Quelque chose fondit sur moi et me plaqua contre un mur. Une douleur insoutenable traversa mon corps tout entier, et mon sang coula le long de ma gorge meurtrie. Je tentai de hurler, d’appeler à l’aide, de repousser la créature…en vain. Je parvins tout de même à lui plonger un couteau sous les côtes…m’enfin, ça ne servit pas à grand-chose, si ce n’est à l’énerver encore plus.

    Finalement, la chose me lâcha et demeura longuement à mon chevet. Les secondes passèrent, les minutes s’écoulèrent et la mort toquait à la porte de mon esprit. Inlassable, insistante, insupportable. Mon bourreau me fixait, je le sentais…et je commençais à me demander s’il appréciait le spectacle. Espèce de sadique dérangé.

    Et puis du sang emplit ma bouche. Un sang délicieux, sucré, légèrement épicé, non…non, personne ne saurait décrire son goût. Pourtant son délice me poussa à en boire encore et encore, jusqu’à me tordre de douleur sur le sol. Jusqu’à mourir…et me réveiller.


__________________________

      Fin décembre 1946 • Quartier chaud • New York.
    Je n’approuvais pas le point de vue de Sirius. Je ne voulais pas m’éloigner de mes parents, les laisser seuls à la merci d’une immuable mortalité. Hélas, nous partîmes quand même à New York…même si je détestais cette ville.
    Un soir, mon maître me laissa seul une bonne heure, le temps de me trouver quelque chose à me mettre sous la dent. Ainsi errai-je à travers les quartiers chauds du Bronx, posant mon regard mort sur les blacks et les dealers de l’endroit. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je tombai sur Wade ! Je ne l’avais plus revu depuis Pearl Harbour. Oh, j’aurais volontiers échangé des tas de souvenirs avec lui…si je ne m’étais pas contenté de succomber à ma faim et de lui sauter dessus.

    Autant le dire tout de suite, je m’en suis voulu énormément. Quand mes crocs eurent quitté sa gorge, quand ma rage se fut tarie, et quand ma faim fut calmée…je compris l’étendue de mes actes. Dès son retour, mon maître me réprimanda longuement et accepta d’offrir l’immortalité au jeune homme. Devenir son frère de sang ne me gêna pas du tout…puisque lui et moi nous entendions à merveille. Seulement, j’espère bien mériter un jour son pardon. Si toutefois il m’en veut…
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MessageSujet: Re: Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view EmptyMer 17 Mar - 20:58

Acte troisième ; sélection laborantine
« Croyez-vous connaître vos pires cauchemars ? Si non, appelez-moi, et vous saurez. Si oui, attendez de me rencontrer…et on verra. »


      Janvier à Août 2018 selon les rapports • District vampirique • San Francisco
    Le stylo glissa une dernière fois, apposant ma signature sur le contrat. L’hématologiste planté devant moi le récupéra très vite, les lèvres garnies d’un immense sourire particulièrement oppressant. Il y a quelques minutes encore, j’étais un vampire. Et maintenant ? Qu’étais-je devenu ? Une éprouvette vivante ou une souris de laboratoire ? Un peu des deux, sûrement…
    Mais mon maître l’avait décidé, aussi fus-je obligé de lui obéir. Sa somptueuse majesté ne supportait plus le tarissement des sources de sang, alors pourquoi ne pas vendre son infant à la science, histoire de renflouer les caisses de la banque vermeille ?

      « Rendez-vous en salle d’examen demain matin, à huit heure. N’oubliez pas de vous changer aux vestiaires, et de prendre votre numéro de matricule. »


    Je sortis du bureau de ce docteur dont j’ignorais le nom et suivis ses directives, à contrecœur bien sûr. Le lendemain, mes « camarades » et moi-même fûmes confiés à des scientifiques. L’un après l’autre, ils appelèrent nos numéros de matricule et s’en allèrent une fois en possession de notre personne. Personnellement, je finis entre les mains d’une certaine Esther Black quelque chose. Une teigne, m’avait-on dit.
    Parfois, écouter les autres ne mène pas à grand-chose. Ça ne m’avait pas mené à grand-chose. En réalité, même si miss Blackwood se montrait extrêmement froide envers moi, je la sentais mal à l’aise en ma présence. Il lui arrivait d’oublier la moitié de son matériel lorsqu’elle était censée me prélever un peu de sang, ou encore de se tromper de dossier. Malgré cela, elle me considérait toujours comme un simple « sujet d’expérience », et n’hésitait pas à m’en faire baver.

    Quelque temps plus tard, les généticiens vampiriques se vantaient d’avoir trouvé LA solution au problème du manque de sang. On allait tester un nouveau produit, dont les molécules étranges se chargeraient de modifier notre ADN et de nous permettre de boire du sang animal. Ou un truc du genre.
    Cette nuit-là, Lethal et moi partagions la même salle d’examen. Je l’aime bien Lethal…il ne parle pas beaucoup, mais il reste un type sympathique, quoiqu’un peu flippant. Lorsqu’il vit Esther arriver, il grimaça à l’idée de subir une nouvelle expérience. Sans doute commençait-il à saturer, puisque de toute façon les recherches n’avançaient pas.

      Je lui souris.
      « Ne t’en fais pas, on y arrivera bien un jour… »
      Esther s’empara d’un masque à oxygène et me le plaqua sur le nez.
      « Respirez à pleins poumons et détendez-vous. » M’avait-elle dit tout en desserrant la vanne d’une bouteille de somnifère.


    Un gaz verdâtre entra en moi et agit immédiatement. Deux minutes plus tard, je dormais comme un loir. La suite des opérations, seule Esther saurait vous la raconter…en tout cas, elle avait fait du « bon » boulot.
    En ouvrant les yeux, je ne compris plus grand-chose. Le simple besoin de m’orienter prit un temps fou, et le moindre de mes sens semblait complètement détraqué. Je me levai lentement et traînai les pieds jusqu’à un mur de nickel impeccablement nettoyé. En regardant autour de moi, je remarquai vite l’absence de porte. Enfin, l’absence de porte empruntable sans carte magnétique ni analyse rétinienne. Et je ne pense pas pouvoir qualifier de « porte » l’énorme trou au milieu du mur, au fond de la pièce. Apparemment, on ne m’avait pas enfermé seul. Et je n’étais pas le dernier à me réveiller.

    J’observai mon reflet sur la surface de métal. Mon corps était resté le même, pourtant. Ma musculature équilibrée gonflait sous mes vêtements blancs, et mon visage aux courbes généreuses me paraissaient identiques, depuis l’instant où les scientifiques m’avaient charcuté…jusqu’à maintenant. Je tournai un peu sur moi-même. Mon matricule apparaissait sur ma nuque, et mes cheveux noirs le couvraient difficilement. Aucune excroissance ne salissait mon dos. Mais alors quoi ?
    En examinant mes yeux, je compris. La forme de mes iris avait changé…On aurait dit des yeux de chat. D’un bleu pénétrant, la configuration de ma pupille s’était modifiée, et formait désormais une sorte d’amande complexe. Pas si mal au fond…
    J’ouvris la bouche –sait-on jamais, et découvris la présence de nouvelles canines.
    En quoi m’avait-on transformé ? Je l’ignorai…et au fond, je ne voulais pas savoir. Néanmoins, je savais une chose : mes « semblables » avaient foutu un beau bordel au labo. Profitant de la situation, je m’étais permis de jeter un œil aux dossiers d’Esther. Ses collègues et elle nous avaient transformés en mutants. Mutants V ou alpha vampires…des créatures capables de se nourrir de sang d’humains, mais aussi…de sang de vampires.


Dernière édition par Lincoln J. O'connell le Mer 17 Mar - 21:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view EmptyMer 17 Mar - 21:00

Épilogue sanglante ; le mot de la fin
« Tu paie, je tue. Tu ne paie pas, je te tue. Voila comment marche le business…si ça ne te plaît pas, va voir ailleurs. Mais tu ne trouveras sûrement pas de meilleur tueur à gage. »


      Mois inconnu 2020 • Lieu inconnu • San Francisco.
    Ma nouvelle race m’avait franchement posé problème au début. Les autorités vampiriques du District avaient cherché à nous exterminer, tous jusqu’au dernier…m’enfin, c’était comme chasser un grain de sable au milieu du désert. Personnellement, j’avais tenté de me reconvertir. D’abord, je volais et tuais quelques vampires, histoire de me procurer suffisamment d’argent et de me payer de nouvelles fringues. Petit à petit, des vampires « de rue » me proposèrent des contrats basiques. Tuer x, tuer y, tuer z. Puis ma réputation d’assassin a atteint les oreilles de commanditaires plus puissants, même des humains ! Ainsi suis-je devenu un tueur à gage réputé, prêt à tout pour arriver à ses fins.
    Mes méthodes varient selon mon humeur. Soit la simplicité de la victime me permet de boire son sang, et donc de me nourrir, soit elle se montre plus coriace et nécessite des balles à UV, soit mon sadisme me pousse à user d’un sublime pieu d’argent.

    Si un jour vous surprenez une ombre, vêtue d’un long manteau noir et armée de plusieurs flingues…ne vous en faites pas, vous n’êtes pas encore face à la mort. Juste face à moi.
    Réflexion faite, il s’agirait presque d’un pléonasme. Presque, au cas où vous auriez du bol.
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MessageSujet: Re: Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Lincoln John O'connell •• Evil is a point of view Empty

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