Thomas Alexander Mansfield

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© A r s e n i c / s t e r l i n g. / © A r s e n i c

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Acide Edulcoré

Feat Gaspard Ulliel . A LITTLE ABOUT ME DATE DE NAISSANCE ; Je me souviens être né en 1872. Cependant, au fil des années, on oublie très facilement les détails que sont le jour et le mois de naissance. LIEU DE NAISSANCE ; Je suis né à Paris, ville des lumières. NATIONALITÉ ; On peut me qualifier de Franco-Américain AGE PHYSIQUE ; 25 ans AGE RÉEL ; 2020 - 1872, ça fait combien ? Eh oui, déjà 148 ans.. RACE ;Je suis ce que vous appelez un Bloodsucker, un vampire en français. MÉTIER ; Hématologiste

1. It's time to describe yourself

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PHYSIQUEMENT ; Je peux effectivement me décrire aisément, vu le nombre d'années que j'observe le même. Tout d'abord, on ne peut pas dire que je sois extrêmement grand : mesurant 1m70, je suis en effet juste dans la moyenne, et ma minceur ne me donne pas une impression de grande force. Cependant, je compense largement ma silhouette presque banale par mon visage.

Sans être narcissique, j'apprécie mon physique, surtout mes cheveux noir corbeau souvent en bataille. Souvent m'arrivant juste à la nuque, il m'arrive de les laisser un peu pousser, juste pour changer d'apparence de temps à autre. Ma peau est, comme pour tous les autres vampires, d'une magnifique blancheur de neige que rien ne peut obscurcir, formant un contraste assez fort et remarquable. Il y a aussi mes yeux, qui sont assez sombres, presque noirs. De toute façon, on aurait presque pu me voir à l'identique avec une vision en noir et blanc. En-dehors de mes lèvres légèrement rosées, rien n'aurait échappé au regard du spectateur.

En habillement, je reste assez simple. Généralement, je porte des chemises blanches avec des pantalons sombres, mais cela peut varier selon mon humeur. Malgré tout, les couleurs restent sombres. J'aime bien le rouge sanguin mais il est bien rare de trouver des vêtements de cette couleur...

MENTALEMENT ; Tout d'abord, en-dehors de ce moment où je vous parle, vous me verrez très rarement ouvrir la bouche, que ce soit pour vous adresser la parole ou pour ouvrir la bouche. Pourquoi donc, me direz-vous ? Tout simplement parce que je n'éprouve pas le besoin de communiquer, préférant vivre seul pour me protéger. Je suis donc quelqu'un de très peu loquace, et j'apprécie guère les personnes parlant à tout va.
Ensuite, pour continuer dans cette magnifique énumération de mes défauts, j'ai horreur que l'on s'approche de moi sans raison pour la simple raison que, je l'avoue, je suis paranoïaque. J'avoue que je ne le reconnaîtrais jamais en temps normal, mais j'ai tendance à voir le mal partout, même chez les personnes ne me voulant aucun mal. C'est l'une des raisons pour laquelle je reste dans mon laboratoire : il ne faudrait pas qu'on détruise mes recherches, ou qu'on me les dérobe !

Je pense que nous pouvons passer aux qualités dès à présent. Pour commencer, je pense être assez intelligent, et ce n'est pas forcément moi qui le dis en présent : mes diplômes, même le fait que j'ai été l'élève de Louis Pasteur l'assurent à ma place. Je réfléchis en permanence, ne me vidant que très rarement l'esprit dans des instants de repos fugaces.
Ensuite, grâce à ma passion pour la science et plus particulièrement la médecine, je suis assez doué dans mes recherches. Même si je n'ai pas apprécié que cela soit révélé au grand jour, il est vrai que j'étais celui qui donnait la plupart des consignes pour la création des mutants et que je suis la personne les connaissant le mieux.
Enfin, j'avoue être assez perfectionniste, même si je considère cela comme une qualité. Je refuse de laisser quelque chose de côté, préférant passer de nombreuses heures supplémentaires à travailler sur un détail plutôt que de tester mes hypothèses de recherche. De même, si je n'ai pas terminé une expérience, je suis capable de passer plusieurs journées à travailler sans m'interrompre, et seule ma soif pourrait me distraire.

VOS RELATIONS ; Je ne suis pas quelqu'un qui va très facilement vers les autres, mais il arrive généralement que les autres viennent à moi. Dommage pour eux, je n'ouvre que très rarement la bouche pour leur parler, quelque soient leurs propos. Il faut dire aussi que le fait d'être enfermé dans un laboratoire n'aide pas à communiquer, mais cela ne me manque pas. Après tout, en-dehors des autres hémologistes, je n'ai pas d'attache particulièrement. Bien sûr, je ne peux qu'haïr ces humains qui ne cherchent même pas à nous comprendre. La preuve : ils m'ont enlevé pour obtenir des exigences comme ne pas servir de nourriture aux autres vampires est assez stupide, sachant que je travaille actuellement sur l'obtention d'un tel résultat ! Rien que d'en parler, j'en suis presque écœuré...

A San-Francisco, j'ai deux personnes avec qui j'ai des relations spéciales : commençons tout d'abord par cette chère Esther Blackwood. Tout comme moi, elle est hématologue, et nous travaillons ensemble sur le moyen d'utiliser du sang autre qu'humain. Contrairement à moi, elle est devenue vampire suite au virus. Pourtant, grâce à nos caractères assez semblables, c'est la personne avec laquelle je préfère travailler ici. Elle sait être silencieuse, ou écouter les autres lorsqu'ils le désirent. Je sais un peu plus de choses sur elle que les autres, tout comme elle en sait plus sur moi. Ensemble, nous avons créé les mutants qui se sont échappés, ensemble nous trouverons le moyen de ne plus être dépendant des humains.

Ensuite, il y a cette fichue journaliste, cette Leah Stevens. Elle fouine partout, veut toujours tout savoir sur nos recherches. Ce que j'en pense ? Sincèrement, elle est vraiment chieuse comme fille. En plus, elle semble avoir décidé de me prendre pour priorité dans ses demandes, ce qui ne m'arrange véritablement pas. Comme si cela ne suffisait pas, c'est elle qui a écrit ce fameux article sur moi, me décrivant comme celui à l'origine des mutants et donc celui qui connaissait le plus de choses sur eux : c'est cela qui a provoqué mon enlèvement, j'en suis sûr ! J'espère donc ne jamais la revoir : la prochaine fois, je doute pouvoir rester encore calme, et je pense qu'elle n'aimerait pas connaître mon courroux.

2. Behind the screen, who are you ?

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PSEUDO ; Valingaï
AGE ; 18 ans
PRÉSENCE ; 7/7
TON PERSONNAGE ÉTAIT ; Un post vacant
CODE DU RÈGLEMENT ; Nescafé, what else ?
RANG ;
Code:
Paranoiac bloodsucker<br>I want blood but not yours, human|
AUTRE ; Comme quoi, ça aide de faire les partenariats pour trouver un forum comme le vôtre ^^

3. We want to know your story

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Mon histoire est longue, très longue... Mais je vais vous la décrire, en vous en racontant les évènements les plus importants de mon point de vue.

Commençons par ma naissance. Je suis né en 1872, comme je vous l'ai dit auparavant, d'une père anglais et d'une mère française. Tous les deux étant médecins, ils s'étaient rencontrés durant un des rares congrès organisés à cette époque, et se sont de suite découverts de nombreux points communs, avant de vivre ensemble dans cette magnifique ville qu'est Paris. On peut dire que ma naissance a été l'aboutissement de tout cela, en quelque sorte. Je ne manquais jamais de lui, entouré de l'amour maternel et de la fierté paternelle. Ce fut véritablement une belle partie de ma vie, même si elle n'a pas duré tant de temps que cela sur l'étendue de ma vie.

Depuis toujours, j'avais été attiré par la médecine, m'intéressant aux techniques de l'époque mais aussi aux recherches et aux progrès possibles. Même si mes parents ne m'ont jamais poussé dans cette voie, je savais qu'ils en étaient heureux, et cela me confortait dans ma voie. Dès mes 18 ans donc, je débutais mes études de médecine, et je n'en eus absolument aucun regret. J'étais véritablement passionné par ce que je faisais, et je me débrouillais assez bien : ce fut certainement pour cela que j'entrais à l'institut Pasteur récemment créé, et je devins l'élève particulier de Louis Pasteur, après avoir découvert certaines propriétés intéressantes de la rage, après que lui-même en eut découvert son vaccin quelques années plus tôt, en 1885. Ce fut des moments très intéressants, où j'appris énormément de choses, et où j'adoptais véritablement le goût de l'expérimentation et de l'étude sur des êtres humains. Cependant, durant l'année 1895, mon mentor mourut, et fut remplacé par une autre personne, que j'appréciais moins que lui. Je dirigeais donc ma propre petite équipe, jusqu'à ce que la mort m'atteint et changea ma vie.

Ce fut lors d'une de ces soirées sombres d'hiver, alors qu'il neigeait encore dans les rues de Paris. J'étais sorti plus tard que d'habitude du laboratoire, voulant terminer une expérience en cours, et je me hâtais de rentrer chez moi. Cependant, je ne poserais plus jamais le pied dans ma demeure... L'humain que j'étais ne put qu'entrevoir une silhouette avant de sentir une douleur aiguë au cou, si forte même que je ne pus qu'en gémir. Après un temps qui me parut être des heures, il me laissa ensuite là, dans une impasse déserte et sombre. Les moments qui suivirent furent très flous dans ma mémoire, et je ne me rappelle que de la douleur, de la sensation à mourir à petit feu. Je sus plus tard qu'il s'était passé deux jours entre cette affreuse agonie et le moment où je redevins lucide, ce fut après l'impression de brûler vif.

J'étais toujours dans la même impasse qu'auparavant. Comment avais-je pu rester là sans que personne ne me voit, ce fut un mystère. Toujours était-il que ce matin-là, j'étais seul, recroquevillé au sol, mais avec une faim tiraillante. Me relevant donc, je repris le chemin de ce qui était mon chez-moi, jusqu'à temps que je croise la route d'un autre humain. Et là... Non, ce ne fut pas le drame, sauf pour cet humain : instinctivement, je lui sautai à la gorge, lui mordant le cou pour me repaître de son sang. Mais ce ne fut pas assez, et mon nouvel esprit de prédateur se dirigea vers l'université, alors que je réalisais ce que j'étais devenu : un de ces vampires de légende... Une fois arrivé à mon lieu d'études, je ne pus que me repaître des rares arrivés, avant de courir la ville et y faire un massacre. Ce fut assez horrible, et je ne me le cache pas. Par chance ou malchance, on me surprit en flagrant délit, et je dus prendre la fuite, et fus même obligé de quitter le vieux continent pour aller en Amérique. Pendant de longues années, jusqu'en 2012 plus exactement, je n'eus pas d'autre choix que de me nourrir dans l'ombre.

En 2012 justement, quand arriva l'épidémie, j'avoue que je fus assez surpris mais en même temps... un peu soulagé. Grâce à tous les aménagements pour la majorité vampirique qui peuplait la Terre, je fus à même de reprendre mes études là où elles s'étaient arrêtées, même si beaucoup de choses avaient changé, avec toutes les technologies et découvertes. Heureusement, durant ces années, j'avais réussi à me maîtriser pour ne pas sauter à la gorge de chaque personne passant près de moi et j'avais pu me tenir au courant, grâce aux bibliothèques et journaux scientifiques. A la fin de mes études, j'intégrai aussitôt un laboratoire scientifique, où je suis d'ailleurs toujours.

J'étais devenu hématologiste, et j'étudiais donc le sang pour permettre aux vampires de ne plus consommer que celui des humains. Moi et mes collègues œuvrions pour le bien de notre espèce et de celle des humains, et c'est dans cet optique que nous fîmes quelques essais sur des vampires consentants, en modifiant directement leur génome. En effet, j'avais eu cette idée, en me rappelant également combien les essais sur ceux de l'espèce concernée étaient plus probants que sur n'importe quel autre être vivant. Au final, vous connaissez tous le résultat : nous avions créé des monstres de barbarie, capable même de tuer des vampires pourtant sensés être immortels...

Depuis cette époque, le quotidien n'est pas forcément évident. Conspués, nous avons tous été au moins une fois pris en otage pour que l'on accède à des demandes humaines, alors que ces mutants n'étaient que le fruit de la recherche scientifique. Il arrive qu'il y ait des erreurs, n'est-ce pas ? Quand ce fut à mon tour d'être enlevé, jamais je ne les parlai, ni même acquiesçai leur demandes : se rendaient-ils compte que, moins de temps nous passions dans nos laboratoires, moins nous allons trouver de solution ? Heureusement, j'ai fini par m'échapper, refusant dorénavant tout contact avec des humains. C'est aussi la raison pour laquelle je reste enfermé sur mon lieu de travail quasiment en permanence, me nourrissant de poches de sang, et travaillant durement pour trouver une alternative à ces humains qui nous gâchent la vie... Enfin, si on peut qualifier de vie l'existence d'un vampire.

Bienvenue Thomas !
Aluuuurs ! Tu as bien respecté le poste vacant et tu as su te l'approprier. Ensuite, j'aime bien ta façon d'écrire à la fois simple mais claire. Et étant donné que je n'ai pas détecté de fautes frappante, c'est OK pour moi !

Tu es donc validé ! Éclates toi bien parmi les fous, ami hématologiste peu loquace !

You're welcome my friend ! Il nous faudra un RP un de ces quatres !
Allez, je déplace.

En cure-dents...et pourquoi pas en batterie de voiture ? *SBAF* Ben c'vrai quoi, pourquoi toujours un cure-dent ? Le cure-dent est-il symbolique ?

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