ASTREE PANDORA BLACKWOOD

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© JAIYLEY

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© PRIDY

FEAT KAYA SCODELARIO . A LITTLE ABOUT ME DATE DE NAISSANCE ; 14 janvier 2001. LIEU DE NAISSANCE ; Londres. NATIONALITÉ ; Anglaise. AGE PHYSIQUE ; 19 ans. AGE RÉEL ; 19 ans. RACE ; Humaine. MÉTIER ; Experte en armes à feu et tueuse de vampires à ses heures perdues.

2. Behind the screen, who are you ?

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PSEUDO ; chrom's, mais appelez moi Thaïs ^^
AGE ; Je suis en troisième, fais jou-jou et calcule
PRÉSENCE ; 7/7 et 5/7 pour les Rp's (quand je suis pas overbookée x))
TON PERSONNAGE ÉTAIT ; Un scénario (:
CODE DU RÈGLEMENT ; C'est Ok, sister !
RANG ; « Bullets are the paints of our lifes and guns the brushs of it. »
AUTRE ; Je sais jamais quoi dire quand on demande "autre" << Sublime forum ? ouiiii !

« All right, we can start... »

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- What do you wanna know...? - Everything. - All of it? - Yes.

Je suis née un 14 janvier. En 2001. Ça me fait dix-neuf ans. J'habitais à Londres avant, mais vous l'aviez surement déjà remarqué n'est-ce pas... ? J'avais pas de problèmes quand j'étais gamine. Faut dire que j'étais pas moi. Enfin, moi quoi, vous avez pigé... J'étais un ange. Une petite choupinette qu'on avait envie de croquer. Ma mère était psy et c'est pour ça que je vous parle maintenant. Enfin, on m'y a poussé, j'en avais sois-disant besoin. J'ai pas tout compris à ça, mais bon, il fait chaud ici. En plus, le truc qu'est bien quand on parle à des gens comme vous c'est qu'ils disent que dalle. Il se contente d'écouter, j'aime ça chez les gens. Pardon, je m'égare. Nous en étions à mon enfance je crois, non ? Ouais. Ma mère était une psy donc. Quand à mon père, il était médecin. Médecine chérie, c'était presque la devise de la famille. Dès l'âge de deux ans, alors que je commençais à peine à parler, j'étais capable de distinguer des maladies simples chez les gens. Je connais aussi une personne en lui parlant simplement pendant un petit moment. Je sais par exemple que votre femme vous a quitté il y a peu de temps, que vous faites ce métier parce que vous aimez parler de leurs problèmes avec les gens, comme moi. Non, j'ai pas lu dans votre tête, me regardez pas comme ça : vous avez encore la trace de votre alliance sur votre doigt et la plupart des psys font ce boulot parce qu'ils aiment ça. Mais je suis pas certaine de me lancer dans la médecine, ça ferais quatre - trois ! dans la famille. C'est trop. Bon... on appelle ça un mot en trop. Ou bien autre chose, mais avec la journée que je viens d'avoir, j'ai pas vraiment envie de chercher. Ouais, il y a quelqu'un d'autre. J'ai une frangine en fait. J'aime pas trop en parler d'habitude mais je vais faire un exception pour vous si vous insistez. La meilleure grande sœur du monde, ma deuxième maman. Enfin, c'est ce que je croyais au début. J'aimerais bien commencer par la fin, mais je ne vous parlerez plus du début. Ce serait con. What a sister... On était inséparables au début. Et ce malgré nos quinze ans d'écart. Comme les cinq doigts de la main sauf qu'on était que deux, voyez. Mais ça on s'en foutait parce qu'on comptaient jamais. Surtout pas moi, je savais pas comment on faisait. Un bien beau tableau quoi.

- Unless... - Unless somebody taked it out...

Lorsque j'avais six piges il me semble, elle est partie. J'ai jamais su pourquoi en plus. Tout ce que je savais c'était qu'elle devait revenir pour l'été et qu'on devait fêter son anniversaire toutes les deux avec plein de chocolat et de lait. Mouais, c'était ce qui était prévu avant, à la base. Elle est jamais revenue cette conne. J'en ai chialé, vous pouvez pas savoir comment... Peut-être même toutes les larmes de mon corps comme ils disent, ou presque. Ouais, c'est rare que je pleure. En fait, j'arrive pas à me souvenir de la dernière fois que j'ai pleuré. Et pourtant je m'en suis pris des trucs dans la tronche. Mais non, j'ai plus jamais pleuré après ça. Je suis même sauté par la fenêtre à un moment. Ça a pas marché, j'ai réussit à seulement me péter un bras. Et pourtant, manoir c'est grand et le toit il est haut. Mais nan, je sais pas comment j'ai fais, j'ai pas crevé. Alors bon, j'ai réessayé. Me suis coupé les veines c'te fois-ci, j'ai cru que ça marchais mieux. Mais nan, ma stupide mère est rentrée dans la pièce bien trop tôt. Bref, pour vous dire que je suis passé au travers de trucs. Après ce coup-là, j'ai arrêté, ça commençais à me gonfler. Et puis j'ai finis par me dire que j'étais trop jeune pour mourir. Ouais, j'avais pas dix ans encore. Un peu jeune en effet me direz-vous, mais vous serez étonné de savoir ce que j'ai fais et surtout à quel âge je l'ai fait. Alors, je suis retournée en cours. J'avais des super notes. Enfin, avant. Je foutais plus rien. Je me suis cassé de la maison aussi. Pendant plusieurs jours. Plusieurs fois. Je me suis fais attrapée par la police aussi une fois. J'avais dix ans tout pile. C'était le jour de mon anniversaire. J'avais voulu le faire loin de tout ce monde. J'ai eu raison, je me suis acheté un joli gâteau et j'ai passé des heures allongée devant le fleuve. C'était cool... Je vous dirais bien que j'ai déménagé et que je vis désormais ici avec mes parents.

- But... - But it isn't what happen. Not at all... - What happen?

J'avais onze ans. Vous savez ce virus à la con. Ouais, bah j'étais là quand il est passé. Juste à coté. A quelques mètres. Et je suis ici pour en parler avec vous. Je sais même pas comment j'ai fait, mais je l'ai fait. Laissez-moi vous parler de tout ceci... Durant la froide nuit de décembre qu'était supposé être celle de la fin du monde je fus réveillée en sursaut pas un bruit de verre brisé. Curieuse comme toujours, je sortis de mon lit et attrapai une lampe de poche. Je ne sais pas réellement si je serais assise ici si je ne m'étais pas levée... Enfin... en sortant de ma chambre je vis l'heure. Cinq heures du matin. Mes parents étaient entrain de s'occuper des plantes dans la serre à cette heure-ci. Je ne les ai jamais compris d'ailleurs, se lever aussi tôt pour s'occuper de truc verts pleins de terre... C'était stupide. C'est alors qu'un autre bruit de verre brisé retentit, à quelques pas de moi c'te fois. Ouais, j'ai crié, mais j'étais dans mon droit quand même. Je voulais pas rester dans ce manoir comme ça, je voulais pas me prendre du verre dans la tronche. Je sortis. C'est alors que j'aperçus mes parents à une vingtaine de mètres de là, dans la fameuse serre. Les cons. J'avançais de dix mètres quand ça arriva. Vous savez de quoi je parle je pense, hein. C'est pas grave, je vais vous en parler quand même. Boom. Tout d'un coup. Tout explosa. Tout. Les vitres, les miroirs, ma lampe et la serre. Tout entière, le verre s'effondra soudain. Ma main pissait le sang. Mais je m'en foutais. Je courus jusqu'à ce qui n'était plus qu'un tas de ruine. Non, je n'aimais pas réellement mes parents. Mais c'était mes parents bordel ! Et ils étaient là, sous les gravas, rouges, se tordant dans tous les sens en hurlant. Au bout de quelques minutes, ils ne bougeaient plus. Moi non plus j'ai pas bougé. Nan. Je suis restée là, debout, à les regarder. Je sais pas combien de temps j'y suis restée. Ça s'arrêta lorsque qu'ils se remirent à bouger. J'ai pas tout compris sur le coup mais j'étais quand même vachement contente. Je me suis approché et mon père m'a mordu. Le con. J'ai hurlé. Encore. J'ai pas cherché a comprendre non plus. Je me suis mise à courir comme une folle vers la forêt avec un bras qui pissait le sang et une main couverte de liquide rougeâtre. Il y a eu deux coup de feu et je me suis stoppée net. Quelle conne me direz-vous. Non, j'ai bien fait. Il y avait un mec là-bas, flingue à la main, qui venait de crever mes vieux. J'ai courus vers lui, je lui ai hurlé à la gueule, je l'ai frappé avec mes pieds, n'ayant rien d'autre et puis plus rien. J'ai jamais sus si si je m'étais évanouie toute seule ou s'il m'avait aidé.

- That man... - Yeah, he's outside. - Why don't you tell me somethings about him?

Quand je me suis réveillée, j'étais dans une de ces cabanes à la con que les gosses construisent tout le temps. En fait, c'était ma cabane, à moi et à ma sœur. Le mec il était là, entrain de bouffer ses barres chocolatés. Il me dit qu'il m'avait sauvé de mes vampires de parents. Il me dit aussi qu'il s'appelait Spike. C'est cool comme nom Spike. Ça me faisait surtout penser à cette série américaine : Buffy The Vampire Slayer. En plus, vous verrez il lui ressemble trop au mec. Enfin, moi j'avais rien dit, le pire c'est que lui continua à parler tout seul, il me racontait un peu sa vie en fait. Et alors que j'allais me barrer, il me proposa du chocolat. J'ai accepté, j'allais pas refuser du chocolat. C'est depuis ce moment que je l'ai pas lâché. Un ancien militaire que c'est. Il me raconta toute l'histoire de ce qui se passait en ce moment, avec les vampires et tout. Je ris pas. Je voulais, hein, mais je le fis pas. Je me suis dis que si je le faisais j'allais me retrouver avec une balle dans la tête. Aujourd'hui je sais très bien qu'il l'aurait pas fait, mais à ce moment-là, j'en savais que dalle. Quelques mois plus tard, alors qu'il commençait à m'apprendre à me battre, il décida de m'embarquer sur un bateau en direction des États-Unis. On traversa ensuite tout le pays jusqu'à arriver à San Fransisco. C'est cool comme ville San Fransisco. Bref, on a vite rencontrer d'autres personnes "comme nous". Des survivants quoi. Et puis petit à petit, un groupe s'est formé. On suivait les ordres d'un certain Hunter. Enfin, Spike était pas du genre à obéir aux règles, mais il respectait ce mec. Je fis pareil. Et je continuai a m'entrainer aussi. A quatorze ans, je tuai mon premier vampire. Trop fière. J'étais aussi devenue une as des armes a feu. J'en savais même plus que Spike, c'est pour vous dire. Le truc c'est qu'ils me prennent pas au sérieux ces cons. Il me trouvent trop jeune. Mais moi je suis sûre que je suis plus forte que la moitié de ces mecs. Mais le monsieur à la barre au chocolat, lui, il disait que je pouvais mais qu'il fallait pas que je fasse. J'ai jamais vraiment compris mais c'est pas grave. Alors bon, moi j'aime bien sortir toute seule. Même si généralement, je reste avec le groupe. Je ramène de la bouffe aussi. Mais bon, dès que je le fais, on m'engueule...

- Good. - That's it? - Yes. - It's over ? - Yes. - Ok.

Je me suis levée sans dire un mot et suis sortis. Dehors, Spike m'attendais de pied ferme. Il ne me posa pas de question, m'interrogeant simplement du regard en me tendant une barre chocolatée. On partit ensemble et, en passant devant un miroir je m'observai rapidement. Je ressemblai énormément à ma sœur ou en tout cas, à ce dont je me souvenais d'elle. Un corps taillé dans la pierre muni de courbes parfaites, des jambes fines, un visage fin, des yeux bleus et des cheveux noirs qui entouraient le tout. J'étais plus musclée qu'elle cependant, bien plus musclée. D'après Spike, si je foutais un pain dans la mâchoire d'un vampire, je serais capable de la lui disloquer. Le seul truc c'est qu'il fallait réussir à frapper un vampire. Là, j'y étais pas encore. Une balle en pleine tête, un pieu dans le cœur c'est bon, mais un pain... il me fallait encore un peu de boulot. Qui sait, le prochain vampire que je croiserais serait peut-être le bon...
Dans le miroir on voyait aussi les deux cicatrices sur mon bras droit : une longue et fine sur ma main et deux petits ronds sur mon avant bras. Des souvenirs que je n'étais pas prête d'oublier. J'en avais aussi une sur la joue. Mon premier vampire. Une autre encore sur le ventre. En fait, j'en avais un peu de partout. Moi j'trouvais ça cool. Spike me gueulait dessus à chaque fois que j'en sortais une nouvelle. Je m'en foutais, j'étais pas morte, c'était l'important. Avant de monter dans la voiture je me retournai et vis le psy à sa fenêtre. Je savais toujours pas pour quelle raison j'étais allée le voir mais je m'étais bien amusée. J'entrai dans le véhicule en lui faisant un signe de la main qu'il me rendit avec un sourire. Dans la boîte à gants, il y avait les affaires que j'avais laissé là, histoire de pas me ramener chez le psy avec un semi-automatique et un pieu en argent. Le flingue partit directement dans le bas de mon dos et je me mis à jouer avec le pieu.

- You told him about the chocolate bar? - Of course. - Stupid thing. - If you hadn't give me that thing, I would have went away. - Bulshit... Give me the one you've got here, I've finished mine. - Bugger that!

Et wala !
Normalement tout est bon. Je me suis relue mais il se peut que j'ai raté des choses (je suis un peu fatiguée ^^) Donc s'il manque des mots, par exemple, je suis désolée >>

Re-bienvenue sœurette ! J'aime bien la façon dont tu as présenté ta fiche ! T'as toujours su y faire avec ça ! =D D'un côté, c'est pas pour rien que la plupart des trucs HTML du forum ont une base signée Chrom's ! Et je n'ai pas vu de faute alarmante donc tu gère sister ! Même quand t'es fatiguée ! Donc je t'annonce que tu es officiellement validée ! Je te fais grâce du blabla que j'ai l'habitude faire ensuite, hein ! Au fait, j'ai peur de te croiser maintenant, j'suis pas fan du flingue que tu planque derrière ton dos ni du pieu en argent avec lequel tu t'éclates ! TT

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Bon jeu à toi !

Bienvenue ! Ta sœur est méchante, elle a fait des expériences sur moi !

Roh ! L'écoute pas sister ! Je n'ai jamais forcé personne à venir se faire charcuter ! Tous nos volontaires - comme leur nom l'indique - sont venus de leur plein gré ! Enfin, après, que sais-je sur leur vie personnelle moi hein ? J'étais pas au courant qu'on t'avais obligé petit Linc'chou J'me rattraperais plus tard. (a)

Marchi frangine. Tu sais pour la présentation de ma fiche, là je me suis pas cassé la tête, hein ^^ C'est pas bien compliqué (;
Aucune faute alarmante ? C'est du jamais vu tout ça, surtout que j'avais les yeux qui se fermaient tout seuls et qu'à chaque fin de paragraphe je me disais, je finirais demain x)
En plus sur le coup j'avais peur d'avoir fait une histoire qui était pas trop sur ce que tu voulais mais bon, visiblement, ça va ^^

Ouais, fais gaffe parce qu'ils me lâche jamais ceux-là (c'est ta faute t'avais cas pas mettre experte en arme a feu uhuhuh).
Linclon t'inquiète, je le sais qu'elle est méchante ma sœur. enfin, pas dans ce sens là, mais je la porte pas dans mon cœur on va dire Et si j'avais été à ta place je l'aurais mangé

Je ne suis pas contre. (a) *SBAF*
Bref, j'arrête de flooder dans ta fiche sœurette ! =D
Et oui, ton histoire est très bien, j'aime bien moi !